Au Jardin à Moncontour, chaleur, estivale, idéalement pondérée ;-) Partout, une microfaune s'affaire, butine, glane, moissonne, copule, pollinise, puis, ballet aérien, s'envole, ou fouit, laissant juste deviner l'entrée d'un monde dérobé. Et d'un clic, la nomenclature doublée des noms vernaculaires pour les fleurs indigènes.
Au Jardin à Moncontour, presque un parfum d'été déjà ! Symphonie radieuse et matinale, perles de rosée et caresse du soleil, fragrance de pivoines et bientôt des fraises... Et d'un clic, la nomenclature doublée des noms vernaculaires pour les fleurs indigènes.
Juin, le mois des jardins, des couleurs et des senteurs ! Au Jardin à Moncontour nous sommes toujours à cette époque 'un peu' dépassé par l'exubérante et conquérante nature. Tant à voir, trop à faire ! La couleur verte se décline en 1000 tons, palette subtile, harmonie sans défaut des arbres indigènes! C'est un grandiose écrin de verdure pour nos plantations horticoles, le petit côté exotique de nos promenades au jardin, des particules venus des quatre coins de la planète,...
Avril, le mois que nous attendons le plus au Jardin à Moncontour et qui nous réjouit, entre tous ! Le moment des bourgeons, des origamis de feuilles, des floraisons immaculées ! Couleurs éphémères, subtiles ou éclatantes, transparences ... Floraisons des bulbes, des arbustes et des plantes vivaces, flore indigène, toutes affolent l'abeille et le papillon dans une symphonie de chants d'oiseaux, alleluia ! Et avec un clic, la nomenclature (doublée des noms vernaculaires pour les fleurs...
Au Jardin à Moncontour, nous avons souvent la tête en l'air ! De grands arbres ont élus domicile sur le terrain, d'ouest en est, de bas en haut depuis le ruisseau: nombreux saules marsaults, frênes élevés, charmes communs, chênes pédonculés, ifs, houx, érables planes et plus rares châtaigniers et hêtres, tous indigènes. Bleu et vert, mon association de couleurs préférée. Beau fixe, ciel bleu azur, frondaisons émeraude, la 'canicule' se manifeste en pointillés furtifs et...
Notre jardin précédent, en Lorraine, était tout petit, un are et demi, carrément gigantesque pour un tokyoïte ! Nous l'arpentions durant une heure, presque quotidiennement ! Notre jardin breton s'étire sur trois cent mètres. En prolongation de la maison, au sud, nous avons terrassé une percée de presque cent mètres, longue perspective qui repose le regard, et, temps suspendu, invite à suivre les méandres de nos pensées. C'est une provision de lumière, une mer intérieure d'où...